N’oublions pas que même si nous ne savons pas exactement quand l’effondrement, la fin de notre civilisation est proche. Le monde du cinéma ces dernières années n’a pas hésité à s’inspirer de cette vérité pour réaliser de nombreux blockblusters sur le sujet.
Ces films n’ont pas vocation à miser “dans le mille” par rapport à ce qui se passer, mais je trouve que se sont ceux qui nous interrogent le mieux par rapport à différents effets qui pourraient provenir suite à un effondrement (épidémies, catastrophes naturelles, conflits etc).
Le film, qui se place dans le futur, suit l’histoire d’un robot cubique nommé WALL-E, conçu avec une myriade d’autres robots du même genre pour nettoyer la Terre de ses déchets, les humains ayant rendu la planète invivable à cause de la surconsommation. Wall-e devient au fil des ans le dernier à fonctionner. Il va tomber sous le charme d’un autre robot tout à son opposé dans son allure et ses manières, nommée EVE, et la suivre dans l’espace pour une aventure qui va changer le destin de l’Humanité. Les humains sont eux partis dans une navette de l’espace en attendant que les robots aient fini de nettoyer l’espace.
Pour lutter contre la surpopulation, des scientifiques mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille d’environ 12 cm : le « downsizing ». Chacun réalise que réduire sa taille est surtout une bonne occasion d’augmenter de façon considérable son niveau de vie. Un film qui parle de l’effondrement de la société d’un point de vue écologique et des différences de niveaux de vie entre les classes sociales.
En 2009, suite d’une erreur humaine, un vaccin, en réalité corrompu, quitte le lieu clos d’un laboratoire et se diffuse sur la Terre (pandémie), tuant les humains les moins résistants et faisant muter les autres, les transformant en “infectés”. L’évacuation des survivants est un échec, personne ne trouvant de remède au nouveau virus qui décime l’humanité. A New York, ville désertifié, il reste cependant le docteur Neville doté de grandes connaissances en virologie. Dernier survivant, il occupe ses journées entre ses différentes expérimentations pour trouver un remède, sa chasse aux animaux occupant la ville.
Sur une terre post-apocalyptique, ravagée par un cataclysme dont l’origine est inconnue, les animaux et les plantes disparaissent, tandis que quelques humains survivent. Dans ce paysage de cendres où règnent le froid et la faim, le plus grand danger est le cannibalisme. Un homme et son jeune fils veulent rejoindre la mer en direction du Sud. Mais sur les routes la barbarie a repris ses droits.